Il est là ! Mon nouvel e-book Préconception et fertilité !

Je suis tellement heureuse! L’un de mes premiers projets de 2023 a vu le jour, après pas mal d’heures de travail!

Cet e-book me tenait à coeur, car j’y partage des informations essentielles et inédites pour la plupart, pour toutes les femmes qui ont le désir d’enfin devenir maman. Ou de l’être à nouveau car cet e- Book est écrit pour toutes les femmes. Honnêtement il contient des conseils qui sont valables pour toutes, futures mamans ou pas.

Si tu es en attente de tomber enceinte depuis des années, je t’offre ce petit bout d’espoir avec toutes mes connaissances sur le sujet.

Si tu souhaites te l’offrir ou l’offrir à une femme de ton entourage, il te suffit de cliquer sur le lien juste en dessous pour y accéder ! Bonne lecture à toi.

Lien de téléchargement : https://natureetnaturo.gumroad.com/l/jphqvq

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Allaitement 101 et naturopathie

Si tu viens d’accoucher ou que tu vas accoucher, tu es sûrement dans le flou artistique si tu as choisis d’allaiter ton bébé. Et si tel est ton choix, je t’encourage et te le dis sans équivoque : tu fais le meilleur choix pour ton enfant et toi.

Il existe beaucoup de fantasmes, de peurs autour de l’allaitement. D’angoisses aussi. Alors que c’est l’une des choses les plus naturelles et intuitives. Je n’ai pas dit facile attention. Mais c’est le prolongement naturel de la grossesse et de l’accouchement. Ton corps sait mieux que quiconque ce qu’il doit faire.

Et si je n’ai pas assez de lait? Ma poitrine est elle trop petite? Des questions qui peuvent revenir et te distraire négativement de cette façon de nourrir ton bébé qui est finalement dirigée en grande partie par ce petit bout. Petite poitrine ou grosse, gros mamelons ou pas, c’est bébé qui va attraper et têter. Normalise tout cela.

Pour produire assez de lait il n’y a pas de mystère, il faut mettre bébé au sein quasi immédiatement après sa naissance. Et répéter le processus autant de fois qu’il le voudra. Il n’y a pas de montre en main, de tétées minimum par jour, de rythme. Un bébé sait mieux que quiconque ce dont il a besoin. D’autant que l’allaitement c’est tellement plus qu’un moyen de s’alimenter. C’est le premier réseau de communication entre bébé et toi. C’est la prolongation de sa vie in utero. C’est un lien indéfectible qui non seulement renforce votre amour mutuel mais qui en plus transmet à bébé des anticorps qu’il ne trouvera nulle part ailleurs. Des bactéries pour protéger son microbiote que tu ne trouveras pas ailleurs.

Ton alimentation va être la clé de voûte de tout cela. Oublie durant ‘a durée de ton allaitement toute forme de privation, reseixtion, régime,comptage de calories. Pitié ! Les siècles précédents, quand les gens ramenaient leurs bébés aux nourrices, il s’agissait de femmes fortes, bien nourries, généreuses. Et bien tu es la nourrice de ton bébé. En début d’allaitement 3000 calories par jour sont souhaitables. Pour une belle mise en place et une montée de lait rapide. Ce que tu dois manger ? Ton corps sait mieux!! Si tu as envie de quelque chose, ne te prive pas. Dirige toi vers une belle hydratation. ( Attention je n’ai pas dit uniquement de l’eau, tisane de famboisier, eau de coco, eau gazeuse naturelle). Consomme des bons gras ( beurre, huile d’olive…), Du fromage de chèvre et de brebis sur du bon pain. Des soupes. Des viandes en sauce. Des bons glucides ( pommes de terre,patate douce,carottes). Des fruits de saison. Des oeufs. Des choses qui te réchauffent. J’ai personnellement utiliser cette tisane parce que j’ai vécu un post partum agité avec l’hospitalisation de bébé 5, et j’ai eu besoin de toutes les ressources possibles.

La tisane est ici 💙

Je me suis procurée après mon dernier accouchement le livre excellent qui aborde le sujet du 4 ème trimestre du Julia Simon et je t’invite sincèrement à te le procurer c’est un superbe allié.

Tu le trouves ici
Et lui ici

Est ce que ça fait mal l’allaitement ? Ça peut dans les débuts, renseigne toi sur les freins de langue, les manipulations crâniennes et ostéopathiques qui peuvent faciliter bébé quelques jours après la naissance. Applique toi ton lait directement sur les mamelons si ils sont irrités.

Est ce c’est contraignant? Contraignant? Pas plus que de se lever 3 fois par nuit pour remplir un biberon! Au contraire. Savais tu que le sommeil d’une maman allaitante est plus réparateur que celui d’une maman qui donne le biberon les premières semaines de vie? Des études ont été réalisées à ce sujet et les hormones produites lors de l’allaitement sont responsables du sommeil plus lent et du fait d’être plus apaisée.

D’ailleurs dans le même ordre d’idée, il existe une corrélation entre la prolongation du baby blues et l’alimentation au biberon. Le fait de ne pas être aussi proche de bébé, de ne pas faire un avec lui allongerait le délai de dépression post partum.

Oui oui quel discours culpabilisant je tiens. ( Ceci dit demande toi si la culpabilité que tu ressens n’est pas plutôt liée à un regret profond ou à des traumas précédents qui font que la lecture de ces lignes te font toi ressentir de la culpabilité. ) Je ne fais pas d’échelonnement de la meilleure mère. Je te dis simplement que l’allaitement n’a pas d’égal.

Est ce que c’est dur? Oui…comme toutes les choses qui valent le coup. C’est un don de soi, un dépassement de soi. C’est aussi une façon de colmater ses propres blessures d’enfants. C’est la possibilité d’embrasser ton rôle de mère et de faire la paix. Il y aura les pics de croissance ( il existe une règle dite du 3,6,9 c’est à dire que l’enfant aurait des pics de croissance tous les 3,6,9, jours, puis 3,6,9 semaines, puis le troisième, sixième et neuvième mois. À la louche cependant 😁). Ces jours là tu auras besoin plus que tout d’une entourage compréhensif, bienveillant, informé. Qui te soutiendra dans des moments de doute. Ces jours là tu voudras renoncer. Tu penseras que bébé a tellement faim que tu dois compléter avec un biberon. Il pleurera fort. Sans répit. Tu ne fais rien de mal. Et bébé ne va pas mal. C’est un processus où ton lait s’adapte à bébé qui grandit. Il te faudra du courage. Idem pour les réveils de nuit ( ceci dit rien ne prouve qu’un enfant au biberon fasse ces nuits plus vite sauf ceux qui sont dressés en quelques jours à se taire, avec la technique du : « je le laisse pleurer il va s’habituer ».)

L’allaitement n’est pas quelque chose de quantifiable, de programmable, c’est bébé qui mène la barque et tu n’as qu’à te laisse porter. Sûrement compliqué quand on a l’habitude d’avoir tout en quelques secondes, et quand on nous a appris que les besoins de l’adulte prime sur celui des enfants. Que l’adulte sait mieux.

Encore une occasion de déconstruire des fausses vérités et de reconstruire ton mon et ton équilibre pour construire des enfants qui seront des adultes de demain plus connectés à leurs vrais besoins essentiels. Des enfants auxquels on donne sans penser qu’ils sont capricieux. Des enfants qui remplissent leur réservoir émotionnel pour à leur tour plus tard donner leur meilleure version d’eux même.

Bon allaitement à toi et dans le doute contacte ta conseillère de la lèche league. Elles font un superbe travail. Ne reste jamais seule. Et aies confiance en tes capacités. Tu sais le faire. Tu peux le faire.

💙

Je l’ai voulu, je l’ai eu : mon 5e accouchement physio

Je suis l’image même de la bobo. Naturopathe. Qui aime la nature. Qui fait l’école à la maison. Qui a allaité pendant 2 ans et plus les enfants précédents. Qui mange bio. Bref madame cliché. Quand j’ai appris ma 5e grossesse, dotée d’une entorse à la cheville, j’ai pris la nouvelle comme une claque.

J’ai détesté cette grossesse. On n’est pas toujours obligée de dire que la grossesse c’est hyper épanouissant. Non. J’ai été beaucoup en bad mood. Pour ma 4e déjà, la grossesse ce n’était pas ma tasse de thé. Et après celle là je sais que c’est définitivement le dernier bébé. 5 c’est bien. Mais pour autant que le parcours grossesse ait été fastidieux, pas physiquement, ouf, à part quelques nausées et migraine au premier trimestre, mais psychologiquement surtout, je voulais un accouchement physiologique. C’est sûr. Indéniable.

On m’a volé mon premier accouchement il y a 17 ans. Je ne connaissais rien, je n’avais lu aucun livre de maternage, je n’avais pas internet. Bref. Une primipare bien démunie. Quand on m’a proposé un déclenchement à J+6, j’ai dit oui bêtement à l’époque. Horrible. On m’a laissé 12h d’affilée seule face à moi même dans une pièce. De 8h du matin à 20h. Je n’avais personne à mes côtés. Quand on m’a dit : on vous fait la péridurale, j’ai dit oui parce que je pensais que c’était impossible autrement. Quand on a sorti la ventouse pour extirper mon bébé j’ai dit oui. Quand on m’a recousu à vif une épisiotomie non demandée j’ai dit oui. Bref. Un acte médical a été fait ce jour là. En aucun cas un accouchement.

Je suis retombée vite enceinte de ma deuxième fille, aux 6 mois de la première mais cette fois ci toujours sans avoir lu quoi que ce soit, et n’ayant toujours pas internet, j’ai décidé que je prendrais le contrôle de cet accouchement. Et grand bien m’en a pris. Je ne me suis jamais vraiment remise de la péridurale qui m’a causé des maux dans le creux du dos très longtemps. J’ai traîné une fatigue léthargique pendant longtemps. Cette fois avec bébé 2, j’ai fait le travail à la maison dans ma bulle, je suis arrivée dilatée à 8cm à la clinique. On m’a mise dans une pièce calme et ensoleillée. J’ai accouché deux ou trois heures après sans péridurale, sans épisiotomie. Avec des douleurs d’enfantement certes, mais totalement gérable. Instinctivement.

Pour bébé 3 et 4 rebelote, travail à la maison, deux gros bébés de 4kg 500 ,même shéma, quelques difficultés à sortir bébé 4 car j’étais épuisée et elle avait les épaules bien trapues, mais idem pas d’episio pas de péri bref. En soi, des succès à mes yeux.

Pour cette dernière grossesse j’avais 16 ans de plus que pour la première. Ça entrait en considération pour le corps médical. On m’a collé un diabète gestationnel sur le dos après une seule mesure au dessus ( je me suis piquée toute ma grossesse mon taux était aux alentours de 0.78 tout le reste du temps). On m’a collé l’image d’une maman qui fait des grossesses macrosomiques. À surveiller. Bref. La totale. J’avais beau leur répéter que c’était mon métier, que je savais prendre soin de ma santé, que je ne ressentais pas le besoin des bas de contention, que j’allais bien. Non. Il fallait être vigilant.

Sentant la patate à plein nez, j’ai préparé un plan de naissance détaillé avec tout le déroulé de l’accouchement que je souhaitais. Je l’ai envoyé par mail à la chef du service gynécologie de l’hôpital où j’allais accouché. Parce qu’on me parlait déjà de déclenchement. 4 échographies de contrôle. Puis 5. Madame vous n’êtes pas sérieuse on vous prévoit un bébé de 4kg 700 au vue des mesures.

J’ai rien lâché. Madame vous accouchez toujours après terme ce n’est pas sérieux vous vous mettez en danger vous et bébé. Non je connais mon corps et je sais ce que je fais. Contrôle tous les 2 jours, moniteur, prise de tension, test d’urine… Je m’y pliais juste pour qu’ils voient que j’étais consciente de mes choix et responsable.

Le jour du brevet de ma deuxième, elle me dit : « J’ai loupé le bus de mon épreuve de l’après midi ». Je dévale mes 4 étages en courant avec mon gros ventre. Je cours jusqu’à la voiture. Je speede pour la ramener aux épreuves. Je rentre à la maison. Je suis épuisée d’un coup. Je m’allonge sur le côté sur mon lit histoire de me reposer quelques minutes et là : ploc! Je perds les eaux. Première fois que ça m’arrive en 5 grossesses. Je n’avais jamais expérimenté cette sensation. Ni ne savais quoi faire. J’étais perdue. J’ai appelé l’hôpital pour leur dire. Elles mont dit :  » Vous avez une heure pour venir, on va vous ausculter » .

Ma valise était déjà prête. Mes papiers aussi. Je m’y rends donc. Et quelle erreur! On m’ ausculté, je perds les eaux en continue, on me dit qu’on ne peut pas me laisser rentrer chez moi, protocole covid. Si je sors, je ne peux plus revenir!!! Et que si il arrive quoi que ce soit je serai entièrement responsable. Je reste à contrecoeur. Je savais pertinemment que de ne pas être chez moi dans ma bulle allait ralentir le travail. Et ce fut le cas. On m’a injecté des antibiotiques toutes les 8 heures. Phobique des hôpitaux je n’ai pas fermé l’oeil pendant 2 nuits. Je faisais du ballon. Je marchais dans la cour à l’arrière de l’hôpital. J’essayais de produire le maximum d’ocytocine naturelle en mangeant des dattes et en tentant de me détendre. Mais je n’étais pas bien. J’étais frustrée. On me mettait des ultimatums. Encore quelques heures et on déclenche. Ça va finir en césarienne. Tout cette pression ne me permettait pas d’être détendue et dans un état d’esprit serein. Le travail n’avait toujours pas commencé. Mais j’étais déterminée.

Non on ne me volerait pas ce dernier accouchement. Oui j’irai jusqu’au bout de mon plan de naissance. Accoucher dans le calme. Sans péridurale. À mon rythme. Aucun compromis possible. Puis au bout de 36 h, vers 20h du soir, j’ai commencé à avoir de très très fortes douleurs. J’ai sonné pour la sage femme de garde qui m’ ausculte et me dit : « Non. Toujours deux doigts. C’est pas pour ce soir. »

Mais les douleurs se font de plus en plus fortes. À 22h je la rappelle et je lui dis que je souffre tellement, rebelote, auscultation même réponse : ouverte à deux. Mais si vous ne tolérez pas la douleur, on vous posera la péridurale, tant pis pour votre plan de naissance. Elle me parlait comme si j’étais une chochotte affabulatrice. Je savais que c’était le travail. Je savais que bébé allait venir. Minuit et demi. Je ne tiens plus de douleur, mon sacrum me brûle. Non je ne suis pas une mythomane. Je l’appelle. Je vois bien que je la saoule. Re contrôle.

Je vois son visage changer. On est à 8 presque 9 de dilatation, on part en salle d’accouchement. Le temps de me préparer, de monter à l’étage, de préparer ma petite pièce d’accouchement au calme, il est 1h30 presque 2h du matin. Je gère autant que je peux la douleur. J’avais noté que je voulais accoucher accroupie. Impossible. Je ne me sens bien que sur le côté. La sage femme me dit que je fais du bon boulot. Que je suis à dilatation complète. Ça pousse. Je ne me sens plus capable de rien. J’ai presque 48h sans dormir dans les pattes. Je veux que ça s’arrête. Ça pousse. Je n’y arriverai pas. Je sens bébé descendre. Je le sens arriver. Je sais qu’il n’est pas loin. Mais la phase de désespérance est là. C’est fini je ne veux plus. Encore une poussée madame il est là. Mytho. Vous dites toujours ça. Je le sais. Je ne veux plus. Qu’on me laisse. Madame. C’est bon. Bébé est là. Je n’en reviens pas. Je ne cesse de répéter : « J’y suis arrivée ? J’y suis arrivée ?? » Pas seulement pour signifier que j’ai mis bébé au monde mais que j’ai aussi réussi à accoucher comme je le voulais. En mes termes. Malgré toutes les pressions et les dissuasions durant des semaines et des semaines . Verdict : bébé pèse 4kg 070. Pas 700. Ahah. Un poids un peu au dessus, mais rien de ce qu’on m’avait prédit.

C’est mon message de courage à toi femme. Ton corps, ton choix. Ton corps ta décision. Ton corps, ton bébé. Ton corps ta force. Ne laisse personne te faire douter de ce dont tu es capable et ce que tu souhaites. C’est ton jour. Personne n’a le droit de te le voler.

Je veux un bébé : Des solutions fiables pour tomber enceinte!

Cette semaine, sur Instagram, Eugénie Tabi que j’ai découvert récemment organisait un live pour présenter son dernier livre : la pilule contraceptive c’est fini! Tu peux le feuilleter et l’acheter je t’y encourage juste en cliquant sur l’image en dessous (j’ai choisi la FNAC comme ça tu peux feuilleter).

C’est à l’occasion de la sortie de son livre qu’elle a présenté la formation qui est liée au livre pour ENFIN te débarrasser de ce poison et retrouver le pouvoir sur ton corps et ta santé. Tu te doutes bien qu’en tant que naturopathe, je ne te recommanderai JAMAIS une contraception hormonale qui bousille ton foie, et par extension entraîne beaucoup de maladies provenant des toxines et des excès d’oetsrogènes accumulées dans ton corps comme l’ostéoporose, le diabète. On n’oublie pas les risques d’AVC, de thrombose et les dépressions à répétition. La libido en berne et les prises de poids et acné insupportables. Tu peux dire stop à tout ça car Eugénie t’apprend dans un super programme détaillé comment aller vers des alternatives naturelles, sans difficulté. Si tu veux checker son programme et rejoindre le rang des femmes qui reprennent le contrôle de leur santé clique sur l’image en dessous (elle te propose en plus le paiement en 3 fois sans frais!!) :

Mais au delà de tout ceci qui est déjà génial, Eugénie a mis en place un programme qui s’appelle PETITE GRAINE pour concevoir un bébé en observant ton corps minutieusement, reprendre le contrôle de tes cycles… bref tout ce que tu as toujours voulu depuis que tu t’es mise en essai bébé mais que tu n’avais pas trouvé! Idem le prgramme est payable en 3 fois mais tu as une web conférence gratuite en cliquant sur l’image juste en dessous qui te permet d’avoir un bel extrait de la qualité de ce qui t’attend lors de ton suivi :

Pour ma part de par mon métier je peux t’indiquer des cures pour favoriser la fertilité, même si on a besoin d’un suivi complet pour établir un bilan, il se peut que tu fasses tout bien comme il faut, des détox douces du foie en le soutenant avec des plantes, te nourrir convenablement sans t’affamer de bonnes protéines d’animaux élevés en plein air, des bons gras (comme je te l’ai expliqué deux articles plus bas ), des bons fruits de saison, bio et locaux….Bref tu sais déjà prendre soin de toi et bébé met du temps à venir. Voici ce que je te recommande comme compléments :

Du chyawanprash, un condensé d’herbes bio et de ghee pour booster ta fertilité et relancer ton système immunitaire

PAIEMENT EN 4 FOIS SANS FRAIS VIA PAYPAL A PARTIR DE 30 EUROS chez Naturamind

Et je te propose de m’envoyer un message pour un rdv naturopathie si tu souhaites qu’on étudie en profondeur une solution vers le retour à la santé optimale pour te permettre de concevoir un petit bout!

La Trousse Naturopathie de Bébé dès la naissance

Difficile de soigner les petits bobos de bébé ils sont si fragiles. Et naturel ne signifie par du tout, sans danger comme beaucoup de personnes le pensent (pas plus que vegan est égal à sain d’ailleurs mais c’est un débat pour un autre jour).

Quand mon dernier bébé a été hospitalisé à 7 jours de naissance pour une bactérie dans les reins, je me suis retrouvée désarmée car évidemment on devait lui injecter des antibiotiques entre autres, très très forts en intraveineuse (ne me lance pas sur le sujet une boucherie le truc ils l’ont piqué une vingtaine de fois, vraiment une épreuve avec la ponction de moêlle sur un bébé tout neuf et 4 jours d’affilée sans dormir, on a connu des jours meilleurs). on m’avait préconisé d’arrêter l’allaitement car je n’étais que l’ombre de moi même, mais comme je prenais des probiotiques je savais qu’ils passaient dans mon lait et que cela serait bénéfique pour lui.

Je savais que dans les semaines consécutives, avec l’allaitement mixte et ces quelques déboires, et les coliques classiques chez le nourrisson entre 2 et 3 mois, j’allais lui donner directement des probiotiques à lui, pour refaire une flore déjà quasi inexistante et bien malmenée.

J’ai utilisé à cet effet le BABYBIANE de chez PILEJE, vu que je consomme moi même le LACTIBIANE IMMUNO du même laboratoire (pas de partenariat avec PILEJE j’aime leur produit c’est tout). Clique sur les photos pour te procurer les produits si tu le souhaites.

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Comme pour les 4 autres avant, j’ai également utilisé pour le soulager au début de l’épisode de coliques, le fameux Calmosine. Le plus par rapport à avant où c’était une bouteille à doser, il existe maintenant en dosettes individuelles à donner directement à bébé et ça ça simplifie la vie. Les coliques sont en général inévitables et un processus normal, mais pour un parent en manque de sommeil chaque chose qui peut contribuer au mieux être de bébé et donc à favoriser des plages de sommeil plus longues est bonne à prendre.

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Les premiers mois de vie sont remplis de souffrance en tout genre et ici la poussée dentaire ne nous épargne pas, vraiment, je n’ai jamais eu d’enfant qui sort autant de dents en même temps, alors autant te dire que pour limiter le doliprane à gogo qui fatigue le foie et bien il faut user de techniques et celle que j’utilise depuis déjà 2 mois, mais encore une fois que j’avais utilisé avec les précedents parce que je suis assez routinière ahaha, c’est le fameux camilia de Boiron qui ici fait ses preuves quelques minutes à peine après lui avoir donner la dosette. Le point négatif c’est le plastique utilisé pour les contenir. Et évidemment en massage un gel gingival à la composition pas cracra qui le soulage particulièrement (au passage il croit que c’est de la nourriture ahaha et gobe le truc m’enfin).

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Qui dit poussées dentaires dit affaiblissement du système immunitaire car le corps dépense tellement d’énergie à la poussée, et en général , bébé développe des maladies ORL du type rhinopharyngite, otite ou encore angine, voire même parfois des bronchiolites. Il faut donc absolument veiller à nettoyer correctement le nez de bébé, et notre ami le sérum physiologique est évidemment le premier auquel on pense pour venir à la rescousse de bébé. En effet bébé dans les 6 premiers mois de sa vie ne respire que par le nez. Il faut donc veiller en permanence à libérer ses orifices pour faciliter la respiration.

Pour plus de facilité à injecter le sérum physiologique,autrement que les dosettes toutes faites, je préfère ce genre de seringue, que vous pourrez réutiliser en les stérilisant.

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Le deuxième problème lié à la poussée dentaire sont les rougeurs sur les fesses, qui peuvent vite suinter emprisonnées toute la journée dans la couche. A chaque change n’hésitez pas à tartiner les petits fessiers de bébé avec une bonne crème bio si possible.

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Enfin pour les problèmes de peau, poussées de boutons, de rougeurs, ou même simplement pour masser bébé après le bébé pour faire un bon dodo le soir, vous pouvez utiliser des huiles comme celle à l’amande douce par exemple.

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Dans l’esprit massage de bébé et moment de partage avec papa et maman, une crème super relaxante avec des plantes comme de la camomille ou de la lavande très connues pour leur capacité à détendre et favoriser l’endormissement.

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Toujours avoir un thermomètre sous la main, les petits bouts ne supportent pas des températures élevées et au moindre doute il faut se rendre aux urgences pédiatriques. Le jour où bébé est parti à l’hopîtal on m’a pris pour une maman qui exagère, un peu de fièvre ne va pas le tuer, mais je sentais au fond de moi que quelque chose clochait. Toujours suivre son instinct et avoir un bon thermomètre digital à portée de main j’en ai un similaire à celui ci :

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Et voilà ainsi s’achève mon petit article de trousse de base pour bébé, si tu vois des choses à ajouter laisse moi un petit commentaire, ça fait toujours plaisir!

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